COMMISSION INTERNATIONALE CONSULTATIVE

SUR LE PRINCIPE DE PRECAUTION

(C.I.C.P.P.)

J’ai rencontré en 2000 un éminent professeur juriste, Monsieur marcel Piquemal, et nous nous sommes rendu compte du fossé important qui existait entre le monde des juristes et le monde scientifique.

En France, l’article 5 de la loi constitutionnelle relative à la Charte de l’Environnement, adoptée le 28 février 2005 par le parlement réuni en Congrès, donne une définition de la mise en application du Principe de Précaution qui suscitera de nombreuses réflexions et de nombreux travaux en particulier chez les juristes et les scientifiques. Les premiers débats ont immédiatement mis en évidence les différences de mentalités, d’argumentations et de sémantique résultant des formations initiales et de la compartimentation géographique dans laquelle scientifiques et juristes ont toujours développé séparément leurs recherches. Les premiers agissant a priori, par leurs découvertes, les seconds a posteriori en tentant de réparer les dommages. Nous avons constaté d’autre part que le scientifique, qui, tout au long de son cursus universitaire (y compris dans ses études secondaires), n’a reçu aucune notion de droit est incapable d’apprécier l’impact et les conséquences des résultats de sa propre recherche lorsqu’ils sont appliqués à la société civile par des technocrates spécialement formés à cet effet. Il en perd donc la paternité de façon irréversible. Le juriste,lui, intervient, a posteriori, pour réparer les effets non intentionnels.

Suite à un débat, à Paris, sur les Missions du Service Public en France, les professeurs Philippe Jean Coulomb (Biologiste), Doyen de la Faculté des Sciences d’Avignon et Marcel Piquemal (Professeur en Droit à Paris), conscients de ce qui vient d’être exposé ci-dessus, décidèrent de créer une association régie par la loi de 1901 : LA COMMISSION INTERNATIONALE CONSULTATIVE SUR LE PRINCIPE DE PRECAUTION (C.C.P.P.) dont la mission serait de proposer des réflexions, aux niveaux national et international, sur les sujets qui pourraient avoir un impact significatif sur le futur des sociétés contemporaines: les nouvelles technologies, la justice, le projet Galileo, l’agroterrorisme, l’éducation, la radioactivité, les pesticides, les OGM, l’éthique scientifique, la responsabilité politique…

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