HASARD OU DÉTERMINISME

 

Les lois de MENDEL montrent que la transmission sexuelle pourrait obéir aux lois d’une épreuve aléatoire : des particules de matière organisée, les gènes, déterminent les caractères des êtres vivants et seraient réparties au hasard  lors de la reproduction. En effet, quand se forment les cellules sexuelles, au cours de la méiose, la répartition des gènes se ferait au hasard (?) et, de surcroît, la fécondation réunit la moitié des gènes de chacun des deux parents. Il en résulte que les « meilleurs possibles » peuvent très bien ne pas être conçus. La nouveauté serait toujours imprévisible !

L’homme, cet esprit incarné que l’Univers a créé pour qu’il le découvre lui-même, a du mal, philosophiquement et scientifiquement, à admettre qu’il est le fruit du seul hasard.

L’étude du monde intracellulaire nous révèle que rien n’est laissé au hasard. Mais, qu’est-ce que le hasard ?